LUEUR D´ESPOIRS !
Sortir du Marasme éconmique que vivent le LIBAN et la TUNISIE !
Ces
deux pays de grande estime et porteurs de civilisations méditerranéennes communes en plusieurs points, sont en train de passer des moments économiques trés difficiles, pas insurmontables pour certains, mais SÉRIEUSEMENT ébranlés
par la crise économique mondiale qui grignote les caisses de l´état et RISQUE en même temps de provoquer l´effrondement des institutions à l´intérieur de la société... L´un crystallise
les carences et désequilibres socio-économiques du Moyen Orient ( Pays du Soleil levant-LIBAN qui était le pays le plus stable dans ses formes touristiques et socio-culturelles); tandis que l´autre ( CARTHAGE et son Histoire-TUNISIE)
repésentant le modéle du développement touristique le plus attractif et le plus prometteur en Afrique du Nord. Dans les deux cas de crise socio-économique profonde, puisque pays sans manne pétroliére avec un domaine
minier sans infrastructures et qui supporte une organisation économique */- libérale et sous influence et concurrence, des soubressauts économiques forts s´avérent nécessaires impérativement par des approches
et soutiens économiques de sauvegarde et de relance de l´intérieur, sans oublier le regard positif du monde Arabe des pays riches, et du Monde extérieur qui peut réagir par solidarité internationale, surtout sur les
plans économico-financiers et énergétiques, puisque les développements intérieurs de ces deux pays, menacés d ´effrondements economiques avant 2022, sont liés fortement aux affluences touristiques culturelles
et petites industries de survie. Leurs positions géographiques aux histoires communes du pourtour méditerranéen, y compris leurs efforts dans les développements économiques infrastructurels
et industriels sont liés aux paysages intérieurs attractifs dont l´activité des secteurs dominants clés sont : artisanaux, services et prestations d´accueil-restaurations-visites etc... Ce qui caractérise le point
faible de l´économie de secours de ces deux pays et...d´autres, est le problème du chômage cruel et bigarré des franges de la jeunesse en poussée démographique certaine, mais il y a aussi les luttes sans
résultats contre la pauvreté des populations rurales et intérieures, et enfin il faut rajouter une carence de plans solides et durables de réorganisations et de distributions des réseaux énergétiques, d´électricité,
des carburants et du fonctionement régulier et durable du commerce import/export des biens et des marchandises ...Tout ceci se passe sous l´oeil passif des acteurs économiques voisins et riches qui peuvent intervenir favorablement, car
íl est possible de le faire maintenant par accords tacites, sans influences belliqueuses de prédation ou subtilités quelconques d´échanges soumis à des conditions défavorables au bien-être des populations..
C´est, certes le cas précis de citer ces deux pays touristiques phares, pris comme pays aux repéres névralgiques et sensibles aux crises. Néamoins, ces pays servent
actuellement d´indicateurs économiques d´alerte sérieuse de maintien en équilibre de la cohésion sociale, mais n´oublions pas que la TUNISIE et le LIBAN rappellent historiquement et représentent communément
dans leurs parcours différents et divers, le point de rupture du déséquilibre économico-sociétal engendrant l´effritement possible du commerce régional et des économies de bon voisinage pour l´ensemble
des pays qui les entourent ou qui les convoitent jalousement...alors qu´íl y a lieu de tout redresser communément dans un esprit de solidarité pour ne pas subir par anticipation les mêmes phénoménes destructeurs
qui peuvent s´avérer contaminants pour tous, et ce sera trop tard de sauver chez soi les meubles !
Y-a-t´íl une lueur d´espoir ? La solidarité
internationale peut elle promettre la stabilité ?
Il est souhaitable de le faire mais toujours avec les autres, en relation d´échanges équitable et prospère,
ce qui reste à prouver ou à développer !
Dr. Djaro